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19 janvier 2007

Le chemin de la poésie dans les petites villes de province

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« Dans les petites villes de province, le chemin de la poésie est un labyrinthe intérieur. Personne avec qui s’entretenir de ses secrets, l’aventure poétique commence comme un long soliloque... »

(Pierre Seghers)

Photo : après dissipation des brumes matinales...

Commentaires

que dire alors des impasses de la poésie dans les mégapoles... ?

Écrit par : Pascale | 19 janvier 2007

Bien d'accord mais quelqu'un le dira-t-il aussi bien que Pierre Seghers ?

Écrit par : Christian Cottet-Emard | 19 janvier 2007

Je n'en sais rien, je ne juge pas Pierre Seghers. Horreur de ces guerres. Je dis juste que c'est joli à l'oreille mais... le sens amputé... à moins qu'ensuite, derrière les petits points, tout s'éclaire, dans la brume du matin ?

Écrit par : Pascale | 19 janvier 2007

Bien avant de rencontrer Pierre Seghers, j'avais lu ces lignes lorsque j'étais adolescent et elles me parlent toujours autant aujourd'hui, peut-être même plus encore.

Écrit par : Christian Cottet-Emard | 20 janvier 2007

Très poétique, cette description de la poésie...

Écrit par : Marie-Josée | 31 janvier 2007

oui...je ne sais pas s'il faut prendre cette citation au sens propre ou au figuré mais perso, je la prends au sens propre..Je n'ai jamais pu partager ma passion pour les mots par ici.
On pense aussi évidemment à Charleville, 'ville supérieurement idiote entre toutes les villes de province', chère ou pas si chère à Rimbaud.

Écrit par : Loïc | 31 janvier 2007

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