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11 mars 2006

Printemps des poètes

Lu dans Le Monde des livres (daté 10 mars) page 10 :

"Nous oeuvrons (...) à ajuster fragilement quelques rythmes (verbaux, graphiques, colorés) dans l'entre-deux entre ce que ce réel nous pousse à faire et ce que nous restituons comme fiction formée".

- Christian Prigent -

Avant, ça m'énervait. Maintenant, ça me fait rire !

Commentaires

J'aime les ahuris

Écrit par : Andy Verol | 11 mars 2006

Ma réaction est la même, ces plaisantins bouffis de sérieux et de prétention ne m'inspirent plus que mépris ou rire. Si nous leur avions attribué depuis le début des prix de littérature humoristique, ça les aurait peut-être calmés - ou ils auraient pris conscience de leur vocation !

Écrit par : Nuel | 11 mars 2006

Je me dis que tous ceux qui se croient investis d'une mission d'"oeuvrage" (allons-y pour l'entre-deux), feraient mieux d'arrêter d'apprendre à danser en ryhtme, ils me feraient plus rire.

Écrit par : Calou | 11 mars 2006

ps: "d'arrêter ET d'apprendre..." voilà qu'ils m'énervent tous ces intellos et que j'en oublie la liaison!

Écrit par : Calou | 11 mars 2006

Vous n'avez rien compris. Il essaie de retranscrire des bruits par l'écriture ; moi je trouve que c'est très fort !

Si on répète 65 fois à haute voix

"dans l'entre-deux entre ce que ce"

on obtient le bruit du train.
Subtil, non ?

Écrit par : Roland Fuentès | 11 mars 2006

Bon sang, mais c'est bien sûr !

- Raymond Souplex - ("Les Cinq dernières minutes")

Écrit par : Christian Cottet-Emard | 12 mars 2006

C'est tellement vrai ! Les commentaires, bien sûr... quant au texte codé, euh!!!... je préfère lire que déchiffrer.

Écrit par : Rony | 12 mars 2006

Les commentaires sont fermés.