16 juillet 2007
Interlude maritime
Rêves tels voiliers à quai
Même fascination même inquiétude
Leurs étendards leurs flammes dans l’été appellent déjà l’adieu qu’il faut offrir sans larme avec la rose ambiguë qui sourit vers la terre en direction du jardin clos
Le départ cloue ton ombre au chaud renoncement des pierres
L’attente d’un récit laissera peut être le grand large entrouvert
(Extrait du recueil Le Monde lisible. © Éditions Orage-Lagune-Express, 2004.)
Photo : C. C-E
12:20 Publié dans Estime-toi heureux | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Dune, mer, poésie, recueil Le Monde lisible, éditions Orage-Lagune-Express
Commentaires
Le grand large entrouvert laissera peut-être l'attente d'un récit...
Écrit par : Ray | 19 juillet 2007
Eh oui, ça marche dans les deux sens, mais ça ne veut pas dire la même chose !
Écrit par : Christian Cottet-Emard | 25 juillet 2007
Une jolie phrase, anyway !
Écrit par : Ray | 26 juillet 2007
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