10 septembre 2012
Journées du patrimoine : concert orgue et violon gratuit à Nantua (Ain)
Communiqué
Le dimanche 16 septembre à 17h à Nantua (Ain) à l’occasion des Journées du Patrimoine 2012 l’Association des Amis de l’Orgue de Nantua et l’Association Histoire, Monuments et Sites du Haut-Bugey proposent un concert Orgue et Violon suivi de la visite de l’orgue à 18h. L’entrée est libre pour ces deux manifestations soutenues par la paroisse St Michel de Nantua.
Mathilde Convert professeur de violon au Conservatoire à Rayonnement Départemental d’Oyonnax et à l’Ecole de Musique du Haut-Bugey, Olivier Leguay, organiste et claveciniste, professeur aux conservatoires d’Oyonnax et Lons-le-Saunier interpréteront des œuvres de Schmelzer, Geminiani, Litaize et Franck. Véronique Rougier organiste titulaire de l’orgue et professeur d’orgue au CRD d’ Oyonnax proposera une visite de l’orgue à 18h. Construit en 1845 par le facteur Nicolas-Antoine Lété cet instrument remarquable, classé monument historique, bénéficie de l’acoustique exceptionnelle de l’abbatiale St Michel, site clunisien.
Photo : Mathilde Convert et Olivier Leguay.
10:31 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : journées du patrimoine 2011, concert, orgue, chorale, nantua, ain, rhône-alpes, histoire, monuments et sites du haut-bugey, nicolas antoine lété, véronique rougier, olivier leguay, abbatiale saint michel, site clunisien, cluny, monument historique, journées du patrimoine 2012, schmelzer, geminiani, litaize, franck, crd oyonnax, conservatoire, blog littéraire christian cottet-emard
03 septembre 2012
La rentrée « littéraire » pue
« L’éloge littéraire » d’un tueur par un homme de lettres français et bien d’autres produits éditoriaux que je m’abstiens de nommer car ils bénéficient d’assez de publicité dans les médias de l’industrie du livre pour que je prenne la peine de leur en donner encore bénévolement dans ce petit blog, décidément la rentrée dite littéraire (commerciale plutôt) pue. Le plus inquiétant, ce n’est pas l’existence de ces produits qu’il me coûte de devoir appeler des livres mais l’abondance de leurs lecteurs, signe très inquiétant d’un air du temps vicié.
Quant à considérer la tuerie comme une œuvre d’art, les précédents sont fréquents, notamment de la part d’intellectuels et d’artistes à qui la renommée justifiée ou non a tout simplement fait perdre la mesure. Je ne citerai que l’exemple de feu le compositeur Karlheinz Stockhausen qui voyait dans les attentats du 11 septembre 2001 « la plus grande œuvre d'art réalisée », mais il y en a bien d’autres dont je n’ai pas envie d’établir le catalogue nauséabond.
Je vois d’ici arriver les esthètes, le troupeau de ceux qui se croient provocateurs et modernes, les publicitaires et autres industriels de la communication brandir le drapeau de la liberté d’expression. La liberté d’expression ? Certes. Mais aussi la liberté pour les foules de victimes aux vies détruites par la disparition d’un proche de se regrouper, de se cotiser et de payer des avocats pour attaquer les auteurs de ces prétendus « éloges littéraires » dans ce qui leur reste de plus sensible, le compte en banque.
23:56 Publié dans Et à part ça ? | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rentrée littéraire, livre, littérature, auteur, puer, puanteur, tribunal, avocat, justice
31 août 2012
Tu écris toujours ? (71)
Conseils aux auteurs locaux
Si vous voulez mon avis, et même si vous ne le voulez pas, il faut absolument éviter de devenir un auteur local. J’en profite au passage pour préciser que mes conseils s’adressent aussi aux femmes car la vie sur la planète Terre est suffisamment compliquée pour que j’en rajoute une couche en m’imposant d’écrire « il faut éviter de devenir un (une) auteur (e) local (e). Et ne me parlez pas d’écrivaine ou pire d’autrice alors que nous n’arrivons pas à prononcer poétesse en public sans nous couvrir de ridicule...
Lire la suite sur Le Salon littéraire.
TU ÉCRIS TOUJOURS ? (FEUILLETON D’UN ÉCRIVAIN DE CAMPAGNE). Précédents épisodes parus en volume aux éditions Le Pont du Change à Lyon (Un recueil de 96 pages, format 11 x 18 cm. 13 € port compris. ISBN 978-2-9534259-1-8). En vente aux éditions Le Pont du Change, 161 rue Paul Bert, 69003 Lyon. BON DE COMMANDE