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27 septembre 2006

Vertige et merveille

Une fois encore, je relis "Bureau de Tabac". Puis, "Au volant de la Chevrolet". Dans l'oeuvre de Fernando Pessoa, ce sont les poésies d'Alvaro de Campos qui me parlent le plus. Pour me rafraîchir la mémoire à propos de l'hétéronyme Alvaro de Campos, j'ouvre "Une malle pleine de gens" d'Antonio Tabucchi, à la page 66 de l'édition 10/18 : "Campos avait en vérité une âme de vagabond, retenue captive dans la peau d'un bourgeois rêveur."
Vertige et merveille de la littérature qui me fait consulter des notices biographiques imaginaires dans lesquelles je reconnais certains aspects de ma situation !

Commentaires

Borgesien !

Écrit par : Ray | 27 septembre 2006

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