07 janvier 2018
Mon poème de l'Épiphanie
Gaspard Melchior et Balthazar avaient déjà rejoint le temps des merveilles
Leur étoile n’était pas de ces abominations de la désolation que les savants ravissent avec enthousiasme des ténèbres aux éperviers de leurs calculs
Sa petite sœur de papier brillant est bien rangée et le sapin reprend son souffle au jardin
Il veut absolument vivre ce gringalet d’épicéa et tout connaître encore de la terre et du ciel de l’an nouveau y compris le retour la tête dans leur étoile de ceux que leur espoir fit rois
© Éditions Orage-Lagune-Express 2007. Droits réservés.
18:29 Publié dans Occident | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : épiphanie, occident, fête chrétienne, christian cottet-emard
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