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28 janvier 2024

Concert

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18 septembre 2023

À propos de mon nouveau roman :

Pour les personnes d'Oyonnax et sa région, mon roman Une folle nuit d'amour ou un bon dîner chez Lapin ? qui vient de paraître est en vente au kiosque de l'hôpital d'Oyonnax et du Haut-Bugey au prix public de 10 €.

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Quatrième de couverture :

Une folle nuit d’amour ou un bon dîner ? Faut-il se résoudre à ce choix diabolique quand on se trouve en proie au démon de midi et à la crise de la cinquantaine comme Julius qui erre dans les rues de Porto à la recherche de sa femme et de ses repères dans la vie ? 

« Voici donc la recette de la comédie sentimentale aigre-douce façon Cottet-Emard : un fond d’humour décalé, un zeste d’absurde et un brin de cynisme adouci d’une bonne dose de tendresse.

Souvent étiqueté « réac » par des critiques, (en vérité juste ce qu’il faut pour notre plus grand plaisir) l’auteur du très ironique Club des Pantouflards revient avec un petit roman incisif, volontiers politiquement et socialement incorrect.  »

- Club Cigare Info -

Christian Cottet-Emard est né en 1959 à Montréal (Ain). Il a vécu jusqu’en 2009 à Oyonnax (Ain) avant de s’installer dans le Haut-Jura.
Bourse d’écriture du CNL (Centre National du Livre) en 2006.
Depuis 2005, il tient un blog : http://cottetemard.hautetfort.com (ISSN 2266-3959) 

Renseignements, commandes, extrait du premier chapitre sur la librairie en ligne.

ASIN ‏ : ‎ B0CGKWQ282

Éditeur ‏ : Orage-Lagune-Express, diffusion‎ Independently published (26 août 2023)

Langue ‏ : ‎ Français

Broché ‏ : ‎ 117 pages

ISBN-13 ‏ : ‎ 979-8859129720

Poids de l'article ‏ : ‎ 154 g

Dimensions ‏ : ‎ 11 x 0.76 x 18.01 cm

17 septembre 2023

Carnet / Aux Rencontres de la Photographie d’Arles

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Retour d’Arles après plusieurs jours de déambulations dans les lieux variés et nombreux qui abritent les Rencontres de la Photographie. Une bien meilleure édition (à mon goût) que celle de l’an dernier marquée par les différentes dérives dont j’ai parlé à peu près à la même époque sur ce blog.

Je ne m’intéresse à la photo qu’en simple amateur mais cet art a parfois pour moi un rôle dans le déclenchement de l’écriture, ce qui s’est encore produit cette année lors de ma visite de l’exposition La Pointe Courte : des photographies au film. Il s’agit du travail photographique méconnu d’Agnès Varda à travers l’histoire singulière de son film précurseur (source : Carine Claude en introduction de son article Agnès Varda, d’un objectif à l’autre, paru dans la newsletter n°348, 3 juillet 2023, d’AMA, Art Media Agency). Une scène du film, à peine quelques secondes, a suffi à me lancer dans un nouveau projet de livre. Ce n’est pas chez moi le processus le plus courant puisque je suis au contraire plutôt du genre à visionner dans ma tête mes histoires comme des films avant de les écrire.

J’ai parcouru aussi une seconde exposition Agnès Varda évoquant entre autres ses installations Patatutopia (une célébration des patates) mais c’était hélas dans l’horrible tour de Luma, un lieu à l’architecture d’une laideur si brutale et où je ressens une telle sensation de malaise et d’oppression que j'ai toujours hâte d’en sortir le plus vite possible. J’ai tout de même essayé de surmonter mon aversion pour cet endroit le temps d’une immersion dans les photos de la célèbre Diane Arbus dont la Fondation Luma marque le centenaire de la naissance. Hélas, l’installation absurde des photos, trop haut ou trop bas et très mal éclairées, ne servait pas du tout l’importance et la richesse de cette œuvre.  

Dans un tout autre genre, j’ai été très inspiré par les images du photographe et peintre Saul Leiter présenté par Pierre Naquin et Carine Claude dans le même numéro d’AMA comme l’un des grands noms de la photographie américaine d’après-guerre, pionnier de la street photographie en couleur dans le New York des années 40. Dans un autre article signé Baudoin Eschapasse dans Le Point (édition spéciale Rencontres d’Arles 2023), le rédacteur cite Margit Erb, directrice de la fondation Saul-Leiter évoquant la discrétion de l’artiste : il faut dire qu’il ne cherchait pas à se mettre en avant, témoigne-t-elle, bien que, comme l’écrit Michael Parillo (auteur avec Margit Erb de l’ouvrage The Unseen Saul Lieter, éditions Textuel, 2022) voisin de Robert Frank, ami de Mark Rothko, admiré par Richard Avedon, il aurait pu devenir très célèbre. Mais il cultivait son anonymat très consciencieusement.

Je ne saurais évoquer ici tout ce que j’ai vu cette année sans lasser le lecteur tant les expositions sont nombreuses. Presque tout m’a intéressé dans ces visites aux allures de marathon (d’où la nécessité de choisir un hôtel central), d’autant qu’à la photo se mêlent les images et les reflets de la ville d’Arles à propos de laquelle Jim Harisson écrit dans ses mémoires En marge, éditions 10/18 : Cette ville, qui abrite d’impressionnants témoignages de son antiquité, est de taille réduite et l’on peut aisément la parcourir à pied. Le marché est une splendeur polyglotte, moins bourgeois que les marchés d’Avignon ou d’Aix-en-Provence. Si votre estomac a quelque mal à se remettre des excès de la veille et que vous doutez de votre capacité à ingérer le moindre déjeuner, alors savourez un pastis en milieu de matinée et visitez le marché d’Arles, dont l’animation réveillera forcément vos appétits élémentaires.

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