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25 février 2017

Ce samedi soir à Oyonnax : deuxième concert de l'intégrale Froberger à l'atelier de Jacki Maréchal

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Communiqué
Samedi 25 février à 20h30 à Oyonnax (Ain) aura lieu dans les ateliers de l'artiste plasticien Jacki Maréchal le deuxième concert de l'intégrale de l'œuvre pour clavecin de Johann Jacob Froberger.
Le concert sera donné par Olivier Leguay, claveciniste et organiste, professeur de clavecin aux Conservatoires de Lons-le-Saunier et Oyonnax.
Attention, les portes ferment à 20h45. Entrée libre.

 

24 février 2017

Dans la presse : Meklat et tout le reste :

L'excellente analyse et le constat accablant de Régis de Castelnau, à lire ici.

 

23 février 2017

Scandale Mehdi Meklat : c’est pas moi, c’est mon double maléfique !

nouvelles du front,polémique,tweets injurieux,mehdi mecklat,télérama,scandale,complaisance,aveuglement,déni,rebelles subventionnés,abus,presse,télé,la grande librairie,le monde,les inrockuptibles,fondation cartierLa vraie question que pose le scandale des tweets homophobes, antisémites, misogynes, injurieux et faisant l’apologie du terrorisme tenus sous le pseudonyme de Marcelin Deschamps par Mehdi Meklat dépasse largement la personnalité négligeable de cet individu ridiculement adoubé journaliste, écrivain et chroniqueur par des médias soumis et complaisants.

Piteusement, le magazine Télérama qui l’a mis en Une en octobre 2015 va jusqu’à publier sur la toile un entretien dans lequel ce manipulateur à double casquette est encore pris avec des pincettes (« Maladroitement et, semble-t-il, sincèrement, il plaide le “double de fiction” » peut-on lire sous la plume de l’auteur de l’entretien). Dur pour un de ces sanctuaires du politiquement correct qu’est Télérama de reconnaître qu’on s’est fait rouler dans la farine ! Et ce n’est pas la première fois ! 

Mais laissons cette presse à sa fatigue, à ses certitudes, à son vieillissement et à sa déconnexion d’avec le réel d’une époque qu’elle ne comprend plus.

Reprenons de la hauteur. La question est de comprendre pourquoi et comment une grande partie de l’opinion d’un pays comme la France en vient à se détester elle-même au point d’encenser ceux qui lui crachent leur venin à la figure avec la complicité de médias d’envergure nationale, internationale et d’une prestigieuse fondation privée.

Il apparaît clairement depuis des années que l’idéologie mortifère ainsi véhiculée prend les structures et les réseaux culturels en place aux niveaux national, régional et local comme vecteurs privilégiés.

Lorsque des lanceurs d’alertes se montrent vigilants, des affaires du même genre sont portées à la connaissance du grand public mais très souvent, hélas, les petits soldats des entreprises de sape agissant en rebelles subventionnés instillent lentement mais sûrement leur poison en toute impunité.

Pour un Meklat démasqué et, espérons-le, définitivement grillé dans les milieux de la culture et des médias, combien d’autres en action ou en embuscade ?

Leur arme : le double langage. Leur logistique : les subventions publiques. Leurs complices : les frustrés, mécontents, déçus, et contempteurs de la culture occidentale. Leurs cibles : les vieux gauchos encore en deuil de leur impossible Grand Soir et les jeunes bobos bavassant à l’auberge espagnole de Nuit Debout. Leur défense lorsqu’ils sont confondus : la position victimaire.

Meklat excelle dans cette dernière posture dans ses abracadabrantes tentatives de justification. L’homophobie, l’antisémitisme, la misogynie, l’injure, l’appel à la violence et au terrorisme, ce n’est pas lui, Mehdi Meklat, mais celui qu’il appelle son double maléfique de fiction, Marcelin Deschamps !

Nous noterons au passage que dans le sordide petit théâtre qu’est l’esprit schizophrénique de cet individu, le rôle du méchant est dévolu à un double affublé d’un nom et d’un prénom bien franchouillards !

Quant au gentil abrité par le même corps, on nous dit qu’il est parti loin de la France pour penser, réfléchir. Eh bien qu’il prenne son temps et qu’il médite en particulier sur ce que sait tout véritable écrivain : les écrits restent et parfois, celles et ceux qui les lisent ont de la mémoire...