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12 janvier 2015

Anita

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Je me promenais à Lisbonne en septembre dernier lorsque je suis tombé sur une affiche géante de la Dolce vita de Federico Fellini. L'affiche recouvrait une grande vitrine vide et, depuis le pont où je me trouvais, il m'était difficile de photographier au milieu des passants et des autos. J'étais tellement capté par le rayonnement de ce couple fabuleux que je n'ai pas pensé un seul instant à situer l'affiche dans son contexte, un clin d'œil de la romaine Dolce vita en plein Lisbonne ! Résultat, la photo aurait pu être prise n'importe où ! J'étais sous le charme, c'est tout. Le charme fou, hypnotique... 

Commentaires

On vit de drôle de moment parfois... des sentiments incongrus, devant des choses que plus personne ne voit parce qu'elles sont là depuis "toujours", posées par un rêveur qui s'adressait à d'autres, disons plutôt à UN autre rêveur (faut pas être trop ambitieux !), et qui s'est certainement désespéré devant la photo qui s'insolait au fil du temps, et du très peu de regards... Pourtant lorsqu'il m'arrive de voir des petites choses comme ça, je me dis, je ne dois tout de même pas être le seul... Mais ça me fait penser, il faut que je change mon tableau en vitrine, il va finir pas s'insoler...

Écrit par : jacki maréchal | 17 janvier 2015

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