25 février 2016
Carnet / La Saint-Valentin de la littérature
Hélas, bientôt le Printemps des poètes, cette Saint-Valentin de la littérature. Et le collage de ces deux mots, printemps et poète, comme de la chantilly sur de la crème anglaise... Quand serons-nous enfin délivrés de cette usine à gaz, de ce machin qui n’a plus guère à envier aux commémorations d’anciens combattants ?
00:51 Publié dans carnet | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : carnet, note, journal, blog littéraire de christian cottet-emard, prairie journal, écriture de soi, autobiographie, printemps des poètes, commémoration, usine à gaz, chantilly, crème anglaise, mièvrerie, machin
Commentaires
Vous êtes dur, ou puriste, ou les deux, je trouve.
On peut vivre en poésie régulièrement et aimer qu'elle soit célébrée, ne serait-ce que cela donne une date rituelle pour préparer un spectacle. Oui, je vous trouve dur, là.
Écrit par : Nikole | 28 mars 2016
Oui, je suis peut-être un peu dur. Toute initiative en faveur d'une meilleure visibilité de la poésie est à considérer au départ avec bienveillance mais le printemps des poètes a quand même bien dégénéré, comme la fête de la musique, d'ailleurs. Tout cela s'est dilué en un bouillon souvent bien fade. Et je ne parle pas de quelques apparatchiks qui en ont fait leur petite rente...
Écrit par : Christian Cottet-Emard | 29 mars 2016
pardon : que PARCE que cela etc
Écrit par : Nikole | 28 mars 2016
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