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30 mai 2019

Dans la presse

Les raisons pour lesquelles ils ne doivent pas revenir. À lire ici.

 

20 mai 2019

Dans la presse

Le silence assourdissant des soi-disant progressistes à propos du racisme anti-blancs. L'analyse impeccable d'Alexandre del Valle

et celle, de la même qualité, de Gilles William Goldnadel. 

 

 

16 mai 2019

Carnet / Mémoire de piaf ?

rubrique nouvelles du front,politique,élections européennes,camapgne élections européennes,lrm,nathalie loiseau,journal le monde,presse,quotidien national,journal du soir,blog littéraire de christian cottet-emard,listes électorales,presse quotidienne régionale,oubli,mémoire,trous de mémoire,politique politicienne,christian cottet-emardJ’évoque assez rarement la politique sur ce blog, y compris en période de campagne électorale et d’élections mais je voudrais commenter cette réponse stupéfiante de Nathalie Loiseau, tête de liste LRM aux européennes, lors d’un entretien dans Le Monde :

Question : Mais pourquoi ne pas avoir reconnu tout de suite que vous aviez été candidate sur une liste étudiante d’extrême droite ?

Réponse de Nathalie Loiseau : On m’a demandé si j’avais été d’extrême droite, je ne l’ai jamais été. Pour ce qui est de la liste, je ne m’en souvenais pas. Qui se souvient de chaque journée passée il y a trente-cinq ans ?

Voici donc une dame qui fait de la politique, ce qui laisse supposer qu’elle accorde de l’importance à cet engagement, et qui veut nous faire croire qu’elle a oublié cet épisode ? Si c’est vraiment le cas, sa mémoire semble commencer à lui jouer des tours. Pas terrible pour exercer un mandat.

Trente-cinq ans après, on peut certes oublier pas mal de péripéties de la vie courante mais s’inscrire sur une liste électorale, quelle que soit son orientation, n’est pas anodin. C'est quand même autre chose que signer une pétition.

Lors de mon passage dans la presse locale dans les années 80 et même après mon départ au début des années 90, j’ai été approché à mon grand étonnement pour figurer sur des listes. Si j’avais accepté, ce qui ne risquait pas d’arriver, je m’en souviendrais encore parfaitement aujourd’hui en 2019.

Je n’ai pourtant pas une mémoire d’éléphant, excepté pour la rancune, je l’avoue, mais je ne peux pas croire qu’on puisse oublier d’avoir inscrit son nom sur une liste électorale, à moins que cette dame ait une cervelle en rapport avec son patronyme, ce que je ne peux évidemment pas croire non plus.

Voilà qui peut paraître secondaire mais comme on dit, le diable est dans les détails, surtout lorsqu'il s'agit d'accorder un minimum de confiance en politique, ce qui m'est impossible envers cette candidate et bien sûr le parti qu'elle représente.