08 janvier 2015
La phrase qui fait rire
À la télévision mercredi soir en zappant :
« Il a fallu des années pour que les gens découvrent que Champs Élysées était une émission culturelle. »
- Michel Drucker -
18:07 Publié dans La phrase qui fait rire | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : télévision, michel drucker, champs élysées, émission, programme, audiovisuel public, la phrase qui fait rire, humour involontaire, le blog littéraire de christian cottet-emard, décervelage, abêtisseur public, animateur, abêtir, abrutir, abêtissement, temps de cerveau disponible, citation
29 septembre 2013
Lectures à la librairie Point d'Encrage à Lyon
Très gentiment accueillis par Françoise Kavauvea dans sa belle librairie Point d'Encrage à Lyon, Jean-Jacques Nuel, Frédérick Houdaer, Roland Tixier et moi-même réunis sous la bannière des éditions Le Pont du Change avons lu des extraits de nos livres. Voici quelques moments enregistrés.
Et quelques photos.
De gauche à droite : Frédérick Houdaer, Jean-Jacques Nuel et moi
Au troisième plan : Roland Tixier
De gauche à droite : Françoise Kavauvea, Frédérick Houdaer et Jean-Jacques Nuel
Roland Tixier
21:49 Publié dans Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lecture en public, librairie point d'encrage, librairie, lyon, rhône-alpes, france, christian cottet-emard, frédérick houdaer, roland tixier, jean-jacques nuel, éditions le pont du change, fire notice, dragon ange et pou, simples choses, courts métrages, le blog littéraire de christian cottet-emard, françoise kavauvea
26 septembre 2013
Le mot qui m'énerve
De temps en temps sur ce blog, je note le mot, l'expression qui m'énervent.
Aujourd'hui :
Donc, euh... Voilà.
L'aveu de qui n'a rien à dire mais tient quand même à nous en informer.
09:21 Publié dans Le mot qui m'énerve | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : le blog littéraire de christian cottet-emard, le mot qui m'énerve, rubrique, tic de langage, charabia, bavardage, vacuité, presse, media, télévision, interview, micro trottoir, opinion, expression, donc, euh, voilà, silence