Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

05 avril 2024

Carnet / Tartufferie culturelle 

carnet,note,journal,nouvelles du front,christian cottet-emard,politique,opinion,blog littéraire de Christian Cottet-Emard,chronique,opinion,tartuffe,tartufferieJe crois qu’il ne faut pas être dupe de cette frange de la classe politique actuelle qui, pour des raisons démagogiques, ne perd pas une occasion médiatique de prétendre goûter ce qui se fait (j’emploie ce verbe à dessein) dans les couches les plus basses de ce que produit l’industrie de la variété, en particulier de la chanson. 

Même s’il arrive que l’intérêt pour la culture littéraire, musicale et artistique d’une partie de ces gens n’atteigne pas celui d’un bachelier des années soixante (et encore, c’est se montrer généreux), je suis persuadé qu’en réalité, dans leur vie privée, beaucoup de nos gouvernants savent très bien profiter et faire profiter à leurs enfants de la vraie culture, celle qui élève par la beauté, pose question sur le monde et encourage à penser, à l’opposé de la sous-culture déversée au peuple comme du fourrage, celle qui enferme au lieu de libérer. 

Il fut un temps où les politiques cherchaient à rester discrets sur leur patrimoine financier alors qu’aujourd’hui, c’est sur leurs préférences culturelles qu’ils adoptent cette discrétion tant ils ont peur d’être qualifiés d’élitistes, tant il est crucial pour eux de laisser croire au peuple qu’ils sont comme lui et qu’ils aiment les mêmes choses que lui. 

Ils oublient qu’une partie de ce peuple goûte aussi la vraie culture et que l’affichage condescendant de leur soi-disant intérêt pour la soi-disant culture populaire (qui n’est en réalité même pas la culture populaire mais le produit de machines à cash que fait tourner l’industrie du divertissement bas de gamme et, ne l’oublions pas, l’industrie du luxe qui excelle dans la récupération et le recyclage de la médiocrité) cet affichage, dis-je, ne trompe que les naïfs. 

Il ne coûte pas grand effort à ces tartuffes de siffler une canette de bière médiocre dans des vestiaires ou de se polluer quelques minutes les oreilles avec de l’infra-langage sur fond de décibels car en réalité, dans leur vraie vie, ils ont leurs meilleures places réservées aux meilleurs spectacles.

03 avril 2024

À peine revenu, déjà nostalgique...

lisbonne,portugal,voyage,nostalgie,christian cottet-emard,occident,blog littéraire de Christian Cottet-Emard,occident

lisbonne,portugal,voyage,nostalgie,christian cottet-emard,occident,blog littéraire de Christian Cottet-Emard,occident

lisbonne,portugal,voyage,nostalgie,christian cottet-emard,occident,blog littéraire de Christian Cottet-Emard,occident

lisbonne,portugal,voyage,nostalgie,christian cottet-emard,occident,blog littéraire de christian cottet-emard

31 mars 2024

Joyeuses Pâques !

Jean-François Dandrieu (1682-1738) Offertoire pour le jour de Pâques sur O filii et filiae.

pâques,fêtes chrétiennes,catholiques,occident,jean-françois dandrieu,offertoire pour le jour de pâques

pâques,fêtes chrétiennes,catholiques,occident,jean-françois dandrieu,offertoire pour le jour de pâques

pâques,fêtes chrétiennes,catholiques,occident,jean-françois dandrieu,offertoire pour le jour de pâques

Cloches photographiées à Lisbonne en me promenant ce Vendredi Saint, la veille de mon retour.