17 août 2019
Carnet / L’ascension des mers en trabaya
Décor urbain années 30. Je puise de l’eau (une eau sombre) dans une sorte de puits qui ressemble plutôt à une cage d’ascenseur désaffectée. Près de moi, une jeune femme habillée à la mode de cette époque me dit : « Le plus beau, c’est l’ascension des mers en trabaya. »
J’accorde d’habitude plus d’importance à mes rêves éveillés qu’à mes rêves nocturnes et je me garde bien le plus souvent d’en imposer l’ennuyeux récit à autrui mais celui-ci m’a vraiment frappé par sa netteté et sa persistance au réveil. Quant au mot trabaya, j’ignore où je suis allé le dégoter. Une brève recherche m’a permis de trouver qu’il correspondait à la conjugaison du verbe travailler en asturien.
Avant d’aller dormir, je n’ai pourtant bu que de l’eau et je n’ai fumé qu’un petit cigare tout à fait normal !
Image / Je n'ai rien trouvé de mieux pour illustrer ce récit de rêve que cette photo prise lors de mon séjour à Porto en 2015.
00:42 Publié dans carnet | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rêve nocturne, rêve éveillé, années 30, vingtième siècle, ascension des mers, trabaya, blog littéraire de christian cottet-emard, puits, eau sombre, christian cottet-emard, eau, porto, portugal