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30 janvier 2018

Gourmandises (conservées dans mon dernier carnet)

alliés substantiels,blog littéraire de christian cottet-emard,carnet,note,michel houellebeck,richard brautigan,albert cohen,pierre autin-grenier,slobodan despot,littérature,aphorisme« Ça va tellement mal aujourd’hui que je vais écrire un poème. »

(Richard Brautigan)

 

« L’artiste est toujours quelqu’un qui pourrait aussi bien ne rien faire, se satisfaire de l’immersion dans le monde et d’une vague rêverie associée. »

(Michel Houellebeck)

 

« Le mépris des méprisables est couronne. »

(Albert Cohen)

 

« Pour en arriver là, il m’a fallu passer plusieurs concours de circonstances. »

(Pierre Autin-Grenier)

 

« Il y a deux choses qu’on ne peut pas prêter : une brosse à dents et un sous-marin nucléaire. »

(Slobodan Despot)

 

04 septembre 2017

« Le tabou de la sentimentalité » Roland Barthes à propos de Fragments d'un discours amoureux

roland barthes,fragments d'un discours amoureux,apostrophes,bernard pivot,essai,littérature,télévision,sexualité,sentimentalité,émission littéraire,culture,audiovisuel,blog littéraire de christian cottet-emard,Bernard Pivot s'entretient avec Roland Barthes sur Apostrophes à propos de Fragments d'un discours amoureux :

Pivot :

« Vous dites même que ce qu'il y a d'obscène aujourd'hui dans le discours amoureux ce n'est pas la sexualité c'est la sentimentalité. »

Roland Barthes : 

« C'est ça. Il y a une espèce de renversement et maintenant, je prétends qu'un sujet amoureux aura effectivement beaucoup de mal à vaincre l'espèce de tabou de la sentimentalité alors que le tabou de la sexualité aujourd'hui se transgresse très facilement. »

 

26 avril 2014

Se réveiller à l'aube en riant à l'âge de cinquante-cinq ans...

« Pour un certain nombre de raisons, je me suis réveillé à l'aube en riant. Voilà qui tient davantage du triomphe de l'esprit humain pour un homme de cinquante-cinq ans. Je me suis alors rappelé un rêve de ma dix-huitième année : le cagibi de notre vieille ferme de l'Indiana, lentement entourée par un quartier d'habitations neuves, contenait tout mon avenir non encore vécu, tout ce que je ne ferais pas... »

- Jim Harrison - (J'ai oublié d'aller en Espagne, éditions 10/18)