22 avril 2022
S’il n’y a pas de honte à se trouver un jour victime, il y a du déshonneur à y consentir.
Ce message s’adresse à tous ceux qui ont subi dans leur quotidien les conséquences des passes sanitaire et vaccinal instaurés par le gouvernement Macron, à tous ceux qui ont été contraints par chantage à l’emploi de se faire injecter un produit expérimental qu’on nomme improprement vaccin, à tous ceux qui ont perdu leur emploi en refusant l’injection, à tous ceux qui ont été traités d’irresponsables et de non citoyens ne méritant rien d’autre que d’être emmerdés par le chef de l’État et ses sbires et à tous ceux qui se sentent aujourd’hui menacés par le retour de ces mesures qui rappellent les heures les plus sombres de la France occupée.
À tous ceux-là, on peut dire que leur lassitude, leur dégoût, leur fatalisme, leur amertume sont compréhensibles comme peut l’être leur tentation de se retirer de cette farce lamentable et sinistre qu’est la politique telle qu’elle est pratiquée dans nos sociétés pas encore totalitaires mais déjà post-démocratiques ainsi que veulent les imposer Macron en France et ses clones en Europe.
Tous ceux qui se sentent dans cet état d’esprit dans lequel la colère le dispute à la résignation doivent être pleinement conscients que l’abstention, le vote blanc et le vote barrage (appelé vote castor ou, de manière impropre et mensongère front républicain) sont des votes qui valent consentement à tout ce dont ils ont souffert et continueront de souffrir si Macron et sa bande sont reconduits au pouvoir.
L’écrasante majorité de la presse nationale qui a approuvé les mesures liberticides et discriminatoires mises en œuvre durant la crise sanitaire qualifie l’adversaire de Macron d’extrémiste mais qui nous a dit à quelle heure sortir, combien de temps, à quelle distance et dans quels lieux ? Qui a imposé la discrimination entre citoyens ? Macron et ses collaborateurs au sens le plus méprisable du terme. L’extrémiste, c’est Macron.
Dans ce contexte électoral particulier, éprouvant et redoutable pour la suite, s’abstenir, voter blanc ou voter castor revient pour toutes les catégories de victimes citées au début de ce billet à prendre une gifle sans la rendre et surtout à consentir à tous les autres coups qui seront immédiatement portés dès la reconduite de cet individu au pouvoir.
S’il n’y a pas de honte à se trouver un jour victime, il y a du déshonneur à y consentir.
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01:34 Publié dans NOUVELLES DU FRONT | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : élection présidentielle 2022, politique, vote, scrutin, honte, déshonneur, urne, blog littéraire de christian cottet-emard, société, vote castor, vote blanc, abstention, christian cottet-emard