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16 février 2013

Critiques récentes

Dragon, ange et pou, de Christian Cottet-Emard

Un article de Christine Bini sur La Cause littéraire.

Un article de Jean-Pierre Longre sur son blog.

Un article de Odile Bonneel dans InterCDI 241 :

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Extrait : « Si l’organiste Edgar Portevent avait pu accéder à la tribune de l’orgue en cette belle journée du mois d’août, il aurait vu monter vers lui les regards horrifiés du curé, de sa femme de ménage, cuisinière et grenouille de bénitier, la vieille Jacinthe, du maire, de son premier adjoint, le pharmacien Adolphe Hénol, du garde champêtre, d’un petit groupe de pompiers professionnels et de gendarmes bientôt rejoints par le patron des établissements Cafardo (désinfection et dératisation). Mais on avait pris soin d’interdire l’accès à l’abbatiale dont l’orgue donnait aujourd’hui un affreux spectacle. »

 

Un pou sur un orgue, un bébé dragon dans le bois de chauffage, un ange qui aide à sortir les poubelles, face à ces situations insolites, les réactions des êtres humains sont encore plus bizarres... Dans ces trois nouvelles alliant humour et fantastique, où le comique se teinte parfois d’une légère mélancolie, Christian Cottet-Emard se révèle un ingénieux raconteur d’histoires.

 

Un recueil de 80 pages, format 11 x 18 cm. 12 €. ISBN 978-2-9534259-7-0

BON DE COMMANDE

Pour les oyonnaxiens, le livre est disponible à la Maison de la presse et à la librairie Buffet.

19 octobre 2010

Tu écris toujours ? (critique récente)

tu-ecris-toujours.jpgUn article dans la revue Inter CDI

Dans la revue Inter CDI n° 227, un article d’Odile Bonneel sur "Tu écris toujours ?", de Christian Cottet-Emard :

 

« Tu écris toujours ?

Telle est la question récurrente que pose au narrateur un ancien camarade de classe, sous-entendu : tu n’as pas de rutilant 4x4, ni tes livres en librairie ! Mais « n’importe quel tapeur de ballon médiatisé se vautre dans les vitrines des librairies. Ecrit-il pour autant, même si son nom et sa photo s’impriment sur la couverture… Eh oui, un livre peut ne pas être un livre. » Vous rirez au parallèle humoristique entre le comportement de l’écrivain et celui du cochon d’Inde (p. 20) ! Beaucoup de conseils désopilants à un écrivain qui cherche un métier alimentaire (surtout ne pas dire qu’on est écrivain !). Conseils aux écrivains allergiques à la rentrée littéraire, aux écrivains qui ne savent rien faire d’autre, à ceux qui se font interviewer (comment répondre aux questions embarrassantes). Et les conseils aux écrivains qui ont encore des amis non-écrivains : « Montrez que vous êtes capables de vous intéresser à autre chose qu’à la littérature, même si ce n’est pas vrai… Ne parlez de vos travaux en cours que si l’on vous encourage à le faire (et soyez brefs), sauf s’il s’agit de la rénovation de votre cuisine. »

Un récit un peu désabusé, mais le plaisir du lecteur est bien là, dans ce trésor de drôlerie ma foi très vrai ! »