Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

14 octobre 2024

Dimanche, c'était le salon Attignat en livres

attignat,salon,attignat en livres,robert ferraris,polar,blog littéraire de christian cottet-emard,littérature,le club des pantouflards,christian cottet-emard,ain,rhône alpes,bresse

Je ne sais pas qui a pris la photo, mais on ne m'a pas raté dans une de mes manies : à défaut de pouvoir fumer dans un lieu public, renifler un Hoyo de Monterrey (en principe discrètement) entre deux signatures.

Blague à part, un salon fructueux à tous égards (contacts, retrouvailles, ventes...) Merci à Robert Ferraris, romancier bien connu, auteur de polars et créateur du salon, ainsi qu'à toute l'équipe d'organisation.

17 juin 2024

Préface de mon roman LE CLUB DES PANTOUFLARDS (nouvelle édition)

christian cottet-emard,le club des pantouflards,nouvelle édition,blog littéraire de christian cottet-emard ©,polar,vaise,effron nuvem,graziella,lyon vaise,gorge de loup,passerelle masaryk,pont masaryk,saône,rhône-alpesLe Club des pantouflards est mon livre le plus politique. Il évoque la tentation de la dictature toujours nichée dans l'exercice du pouvoir mais plus grave encore, dans le consentement des consciences quelles que soient leurs opinions, de droite ou de gauche. Peu importe que la dictature soit de droite ou de gauche une fois qu'elle est installée. Elle ne se soucie alors que d'elle-même.


Dans ce petit roman, je parle de la dictature moderne, celle qui avance tout d'abord sous des masques variés (entre mille autres, la célébration de la tradition archaïque mais aussi le culte de la modernité et du progressisme, la chimère du retour à l'état de nature mais aussi le cauchemar de l'hygiénisme obsessionnel). De nos jours la dictature, par exemple celle de la pensée socialement correcte et de la vie saine, peut s'afficher derrière un sourire permanent comme on le voit dans les messages publicitaires et l'expression contrôlée voire policée des dirigeants politiques, mais il suffit d'aiguiser un peu d'esprit critique pour débusquer sous ce sourire obligatoire un rictus. Derrière cette grimace, c'est toujours la même volonté  : imposer l'homme nouveau et, de cette manière, en finir avec le passé comme avec le futur pour ne vivre qu'un présent qui se voudrait éternel (« Si nous voulons que tout reste tel que c'est, il faut  que tout change » , déclare prophétiquement le jeune Tancredi Falconeri à son oncle Don Fabrizio Corbera, prince Salina, dans le roman Le  Guépard de Giuseppe Tomasi di Lampedusa). 


Entre le début et l'inéluctable échec du projet totalitaire, s'ouvre et se ferme une parenthèse de souffrance, de mort et de désolation pour les corps et pour les esprits, jusqu'au cœur des destins individuels. De nombreux livres écrits par des auteurs érudits décrivent et analysent ce processus, alors comment un simple raconteur d'histoires comme moi peut-il prétendre s'y atteler à son tour  ?

 
La réponse m'est venue à ma mesure, sous la forme de cette courte fable ironique et noire publiée pour la première fois en 2006. À cette époque, j'étais loin d'imaginer qu'à l'occasion d'une crise sanitaire, nous allions entrer un peu plus d'une décennie plus tard non pas encore dans une dictature mais dans un système  qui peut être qualifié de post-démocratique avec tout ce que  cela implique d'incertitude et d'angoisse concernant l'avenir des libertés publiques et individuelles.

CC-E

On peut déjà se procurer ce roman en vente par correspondance ici ou en le commandant directement à contact.ccottetemard@yahoo.fr

Pour les personnes d'Oyonnax et sa région, l'ouvrage est déjà disponible au kiosque de l'hôpital d'Oyonnax au prix de 10 € et peut être aussi demandé à la librairie Buffet d'Oyonnax.

07 juin 2024

Vient de paraître / Le club des pantouflards (nouvelle édition revue, corrigée et commentée)

christian cottet-emard, le club des pantouflards, nouvelle édition, blog littéraire de christian cottet-emard ©, polar, vaise, effron nuvem, graziella, lyon vaise, gorge de loup, passerelle masaryk, pont masaryk, saône, rhône-alpes

Ce qu'en dit la presse :

La prose de Cottet-Emard, d’une étrangeté poétique, se lit avec un vif plaisir et un intérêt soutenu, jusqu’au bout.
Jean-Jacques Marimbert (Encres vagabondes)

 

Ce petit roman épate à la fois par sa verve caustique et son atmosphère, son délire très contrôlé et son aura lyrique.
Jean-Louis Kuffer (24 heures)

 

On retrouve dans ce livre l’originalité de l’inspiration et la maîtrise de l’écriture, le sens du fantastique et les talents de conteur de Cottet-Emard qui excelle à nous décrire l’individu broyé et effacé par la politique de l’absurde.
Jean-Jacques Nuel (La Presse littéraire)

 

Une machination aux accents oniriques dans un quartier lyonnais. Un roman qui brosse un tableau sans concession des rouages broyeurs d'âmes et des intérêts mesquins qui, en sous-main, sous-tendent nos sociétés modernes.
(Voix de l'Ain)

 

Longue nouvelle, mini-polar, Le Club des pantouflards se lit d'une bouchée. Le décor est planté à Vaise, quartier de Lyon.
Émilie Charrel (Le Progrès)

 

Plus qu'un polar, une fable noire et ironique sur les masques de la dictature.
Joaquim Vaz de Andrade (Club Cigare Info) 

 

On peut déjà se procurer ce roman en vente par correspondance ici ou en le commandant directement à contact.ccottetemard@yahoo.fr

Pour les personnes d'Oyonnax et sa région, l'ouvrage sera disponible à Oyonnax à partir de la semaine prochaine.