16 décembre 2006
Recyclage
"Certaines anxiétés peuvent être utiles à la littérature. Je pense qu'un écrivain doit savoir se réjouir de ses échecs. Les échecs produisent de la bonne littérature. Le triomphe dans la vie, non."
- Adolfo Bioy Casares -
00:55 Publié dans Alliés substantiels | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : Littérature, échecs, Bioy Casares
Commentaires
Ayant bien échoué, ayant bien réussi mes échecs, je devrais être le plus heureux des hommes.
Écrit par : Nuel | 16 décembre 2006
Non, non, il faut rater ses échecs ! Car la réussite d'un échec n'est jamais que l'échec d'une réussite. Alors que l'échec d'un échec est une réussite qui s'ignore. Réjouissant, non ?
Écrit par : J.-J. M. | 16 décembre 2006
En art et en littérature, les mots "échec" et "réussite" n'ont guère de sens, sauf si l'on conçoit une réussite artistique ou littéraire comme une réussite sociale, ce qui expose évidemment à toutes les désillusions.
Écrit par : Christian Cottet-Emard | 16 décembre 2006
Eh! Christian : je pense à toi ce soir où un pote compatissant et me sachant entré en résistance m'envoie les références de ce blog :
http://yvesbelaubre.blogspot.com/
Hasta la victoria siempre et tirons doucement sur le Havane comme dit l'autre!
Écrit par : P.A.G Toute une vie bien ratée | 16 décembre 2006
Eh! Christian : je pense à toi ce soir où un pote compatissant et me sachant entré en résistance m'envoie les références de ce blog :
http://yvesbelaubre.blogspot.com/
Hasta la victoria siempre et tirons doucement sur le Havane comme dit l'autre!
Écrit par : P.A.G Toute une vie bien ratée | 16 décembre 2006
Un blog savoureux en effet, et qui remet les pendules à l'heure en nous rappelant que le bel hygiénisme ambiant est plutôt sélectif. Haro sur nos rêveuses volutes mais silence sur "l'automobilisme passif" auquel on expose le populo pour cause de sacro-sainte mobilité professionnelle...
Écrit par : Christian Cottet-Emard | 17 décembre 2006
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