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04 septembre 2017

« Le tabou de la sentimentalité » Roland Barthes à propos de Fragments d'un discours amoureux

roland barthes,fragments d'un discours amoureux,apostrophes,bernard pivot,essai,littérature,télévision,sexualité,sentimentalité,émission littéraire,culture,audiovisuel,blog littéraire de christian cottet-emard,Bernard Pivot s'entretient avec Roland Barthes sur Apostrophes à propos de Fragments d'un discours amoureux :

Pivot :

« Vous dites même que ce qu'il y a d'obscène aujourd'hui dans le discours amoureux ce n'est pas la sexualité c'est la sentimentalité. »

Roland Barthes : 

« C'est ça. Il y a une espèce de renversement et maintenant, je prétends qu'un sujet amoureux aura effectivement beaucoup de mal à vaincre l'espèce de tabou de la sentimentalité alors que le tabou de la sexualité aujourd'hui se transgresse très facilement. »

 

17 juillet 2017

Une de mes lectures du moment : Roman de romans de Raymond Alcovère, « un livre de bord, pour voyager »

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Extrait :

Autobiographie

« Parmi les livres les plus bouleversants, beaucoup d'autobiographies, au sens large. À la recherche du temps perdu, les Mémoires d'Outre-tombe, les Mémoires de Saint-Simon, Le livre de l'intranquillité, Les Rêveries d'un promeneur solitaire, mais aussi Le journal de Kafka, la Correspondance de Flaubert, les Lettres à un jeune poète de Rilke. Plusieurs de ces textes d'ailleurs n'ont pas été écrits avec l'intention de « faire œuvre » , et c'est probablement ce qui les rend si touchants et forts. Dans tous les cas, ce sont des formes d'autobiographie libre. »

- Raymond Alcovère -

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Disponible ici

 

 

 

26 avril 2014

Se réveiller à l'aube en riant à l'âge de cinquante-cinq ans...

« Pour un certain nombre de raisons, je me suis réveillé à l'aube en riant. Voilà qui tient davantage du triomphe de l'esprit humain pour un homme de cinquante-cinq ans. Je me suis alors rappelé un rêve de ma dix-huitième année : le cagibi de notre vieille ferme de l'Indiana, lentement entourée par un quartier d'habitations neuves, contenait tout mon avenir non encore vécu, tout ce que je ne ferais pas... »

- Jim Harrison - (J'ai oublié d'aller en Espagne, éditions 10/18)