Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

20 mai 2017

Dans la presse

Le danger se précise : à lire ici.

 

19 mai 2017

Dans la presse

C'est là qu'on attend le « nouveau » gouvernement :

Femmes chassées des rues : à lire ici.

 

16 mai 2017

Carnet / Fournisseurs, rouleurs de mécaniques, Renard

carnet,note,journal,blog littéraire de christian cottet-emard,cartons,politique,jules renard,mécaniques,machos,copains,poème,bourgeois,barnumBarnum électoral et fournisseurs
J’ai beaucoup de mal à comprendre tout ce psychodrame à propos des résultats d’élections, des nominations de ministres et du barnum médiatique qui accompagne en fanfares et en paroles creuses cette routine du fonctionnement de la société. Après tout, ces élus ne sont que des fournisseurs que nous envoyons en politique et en gestion de l’économie parce que nombre d’entre nous avons plus intéressant et plus urgent à faire : vivre.

Rouleurs de mécaniques
Récemment, je patientais dans une file d’attente. Devant moi, un groupe de jeunes types, moyenne d’âge une vingtaine d’années, incapables de se parler normalement. Pathétiques à force de rouler les mécaniques, d’essayer de placer leurs voix dans les graves et de se contraindre à des postures artificielles, inconfortables, apparemment avantageuses à leurs yeux. Personne pour leur rendre service en leur expliquant calmement le ridicule de leur maintien. À quoi bon ? Forcément un lien avec ce dont je parlais au début à propos des élections, de la politique.

Aventure du poème et sortie entre copains
Une fois libéré de la file d’attente, j’ai repensé à un fragment de texte de mon recueil Le Passant du grand large qu’on ne trouve désormais qu’en bibliothèque : L’aventure du poème n’a rien à voir avec une sortie entre copains. Je ne me souviens plus à quel propos j’avais écrit cela mais là encore, c’est en liaison avec ce que je décrivais précédemment.

Jules Renard
Revenir à son journal : Les hommes de la nature, comme on les appelle, ne parlent guère de nature. Ou encore L’horreur des bourgeois est bourgeoise.