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11 décembre 2010

Tu écris toujours ? Un article dans Voix de l'Ain

Dans l'hebdomadaire Voix de l'Ain en date du 15 octobre 2010, un article sur « Tu écris toujours ? » (éditions Le Pont du Change) signé Jean-François Pan :

voix_de_l-ain2bis.jpg

(cliquer sur l'article pour agrandir).

DESCRIPTIF ET BON DE COMMANDE

19 octobre 2010

Tu écris toujours ? (critique récente)

tu-ecris-toujours.jpgUn article dans la revue Inter CDI

Dans la revue Inter CDI n° 227, un article d’Odile Bonneel sur "Tu écris toujours ?", de Christian Cottet-Emard :

 

« Tu écris toujours ?

Telle est la question récurrente que pose au narrateur un ancien camarade de classe, sous-entendu : tu n’as pas de rutilant 4x4, ni tes livres en librairie ! Mais « n’importe quel tapeur de ballon médiatisé se vautre dans les vitrines des librairies. Ecrit-il pour autant, même si son nom et sa photo s’impriment sur la couverture… Eh oui, un livre peut ne pas être un livre. » Vous rirez au parallèle humoristique entre le comportement de l’écrivain et celui du cochon d’Inde (p. 20) ! Beaucoup de conseils désopilants à un écrivain qui cherche un métier alimentaire (surtout ne pas dire qu’on est écrivain !). Conseils aux écrivains allergiques à la rentrée littéraire, aux écrivains qui ne savent rien faire d’autre, à ceux qui se font interviewer (comment répondre aux questions embarrassantes). Et les conseils aux écrivains qui ont encore des amis non-écrivains : « Montrez que vous êtes capables de vous intéresser à autre chose qu’à la littérature, même si ce n’est pas vrai… Ne parlez de vos travaux en cours que si l’on vous encourage à le faire (et soyez brefs), sauf s’il s’agit de la rénovation de votre cuisine. »

Un récit un peu désabusé, mais le plaisir du lecteur est bien là, dans ce trésor de drôlerie ma foi très vrai ! »

30 juillet 2010

A’ xiste pas !

Chaque année en période estivale, je fais le même rêve éveillé : les grands quotidiens et les magazines qui ont pris l’habitude de réduire leur pagination pendant les vacances en profitent pour aérer un peu la boutique. Les chefs de rubriques sont partis au chaud ou au frais ? Qu’à cela ne tienne, les rédactions ont embauché de jeunes stagiaires. Dans les pages littéraires, ils signent des critiques et des notes de lecture à leur manière. On leur donne carte blanche, oh, pas pour longtemps... Mais tout de même. Puisqu’ils ne sont pas encore blasés et qu’ils sont encore trop jeunes et inconnus pour crouler sous les services de presse, ils nous parlent des livres qu’ils aiment et ne répugnent point à promouvoir quelques ouvrages publiés par de petits voire minuscules éditeurs.

Ce bref courant d’air frais ne dure que quelques semaines mais c’est d’autant plus agréable pour les lecteurs surpris (ô lecteur, ô lectrice, à quelle époque lointaine un journal, un magazine vous ont-ils surpris ?) que la rentrée dite littéraire va bientôt déverser ses centaines de nouveautés dont une partie ne connaîtra de la librairie que l’arrière-boutique avant de repartir encore  blistérisée et empaquetée vers le pilon.

Eh oui, c’est toutes les années pareil. Le rêve n'était qu'un rêve et la réalité, la voici : hier, j’ai reçu Télérama. Rubrique littéraire : trois livres présentés, pas un de plus ! Et à la fin de l’été, à Télérama comme ailleurs, même avec le retour à la pagination normale, ils compteront non pas chaque ligne mais chaque signe, les chefs de rubrique ! Quant à la petite édition : « a’ xiste pas » comme dit Jean Tardieu.