19 avril 2020
Dans un frêne la mer
Quand la mer me manque et que je ne l’entends plus assez dans le coquillage de l’enfance
je ferme les yeux sous un frêne qui déplie ses nouvelles feuilles dans la brise
J’écoute ployer et se frotter dans l’air ses hautes et souples branches
Je lève la tête j’ouvre les yeux et me voilà sous la grande voile bleue qui ondule dans l’écume
Vous voyez ce n’est pas compliqué
Extrait de Estime-toi heureux, © Éditions Orage-Lagune-Express
Images : photos prises hier après-midi chez moi avec mon petit appareil Lumix
01:08 Publié dans Estime-toi heureux | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : frêne, mer, nostalgie de la mer, arbre, campagne, voilure, voile, mât, ciel, écume, fermer les yeux, ouvrir les yeux, lever la tête, blog littéraire de christian cottet-emard, enfance, coquillage, christian cottet-emard, rêve éveillé, feuilles, brise, branche, brise marine, souvenir, paysage maritime, estime-toi heureux©, éditions orage lagune express, droits réservés, étude notariale m., photos©christian cottet-emard, photographies, images, appareil photo lumix
Commentaires
Les Frênes poussent très vite, ce qui m'effraie un peu...
De plus de trente mètres face à nous, en lisière de forêt!
Ce que j'admire tous les jours et à qui je parle doucement :
un Jeune Tilleul qui vient de naître, sorti de la terre...et déjà 2 mètres de haut, pressé de rendre JUSTICE?
Bises salutaires de Mauricette
Écrit par : BEJOINT Mauricette | 19 avril 2020
Les Frênes poussent très vite, ce qui m'effraie un peu...
De plus de trente mètres face à nous, en lisière de forêt!
Ce que j'admire tous les jours et à qui je parle doucement :
un Jeune Tilleul qui vient de naître, sorti de la terre...et déjà 2 mètres de haut, pressé de rendre JUSTICE?
Bises salutaires de Mauricette
Écrit par : BEJOINT Mauricette | 19 avril 2020
Les frênes poussent vite et haut mais ne vivent pas longtemps (70 ans en moyenne) quand ils ne sont pas empoignés par le lierre. Heureusement, ils font des surgeons !
Amitiés et bonne santé !
Écrit par : Christian Cottet-Emard | 21 avril 2020
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