17 novembre 2009
« Quand on s'assoupit, on (c)rêve »
La nouvelle exposition Jacki Maréchal commence vendredi à Oyonnax.
Vernissage 20 novembre entre 15h00 et 21h00
GALERIE EX-LIBRIS
3, rue Brunet
01100 OYONNAX
« Quand on s'assoupit, on (c)rêve »
Expo du 20 novembre au 19 décembre 2009
10h30 à 12h30 et 14h30 à 19h30
Tous les jours sauf lundi et vendredi matin
Le dimanche de 15h à 18h30
06 16 26 07 58
Tableau : « On est surveillé »
18:59 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : peinture, exposition, jacki maréchal, galerie ex-libris, oyonnax, ain, rhône-alpes, france
11 juillet 2009
Nouvelles du front
15:43 Publié dans NOUVELLES DU FRONT | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : travail le dimanche, social, licenciement, emploi, chômage, oyonnax, ain, blog littéraire de christian cottet-emard, hard discount, commerce
Carnet
Ce fut vraiment une riche idée de réserver un an à l’avance cette journée de dimanche dernier pour aller voir en famille une très belle Traviata à l’opéra de Lyon dans la mise en scène de Klaus Michael Gruber. J’ignorais, à l’époque de la réservation, que l’année 2009 ne serait pas localement favorable à la musique avec la disparition pure et simple du festival du Haut-Bugey à Nantua. Je déplore la fin de ce petit festival de grande qualité organisé dans le lieu inspiré de l’abbatiale Saint-Michel. Difficultés financières, fréquentation en baisse, et, flottant dans le mauvais air du temps, cette désormais récurrente accusation d’élitisme chaque fois qu’on essaie de s’adresser à la sensibilité et à l’intelligence du public, tout cela devait-il pour autant conduire à effectuer un replâtrage hâtif avec cette nouvelle programmation estivale qui, bien qu’elle s’intitule « Airs d’été » , manque cruellement de souffle ?
Hier vendredi, je suis descendu de mon repère campagnard pour aller consulter un ouvrage à la bibliothèque municipale d’Oyonnax abritée par le centre culturel Aragon. À l’intérieur du bâtiment, les murs des circulations étaient tapissés d'affreuses photographies géantes de tapeurs de ballon. Je suppose que cette initiative grotesque a été prise au nom du dialogue entre culture et sport et dans un souci d’éviter tout élitisme ! Je me demande simplement si l’on peut trouver de l’art exposé dans les vestiaires du stade. De toute façon, n’ayant jamais mis les pieds dans un stade, même à l’époque où j’aurais pu être exposé à ce déshonneur du fait d’une de mes péripéties professionnelles, je ne risque pas d’aller vérifier.
Bon, ce n’était pas mon jour à Oyonnax qui n’est jamais une ville aussi agréable que le dimanche soir en hiver par moins dix degrés. Or nous sommes en été et, sous prétexte d’animation commerciale, on nous privatise l’espace sonore public au moyen d’une sonorisation je ne vous dis que ça. Ambiance parfaitement infernale garantie. Retour illico presto sous mes frênes musiciens, loin de tout ça.
02:15 Publié dans carnet | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : carnet, journal, notes, écriture du moi, festival airs d'été, oyonnax, ain, musique, blog littéraire de christian cottet-emard