08 janvier 2019
Carnet / En écoutant Tippett
Pour commencer l’année et continuer mon voyage dans l’œuvre du compositeur britannique Sir Michael Tippett (1905-1998) que j’avais découvert en 1991 avec son Triple concerto, terminé en 1979, et son Concerto pour piano composé entre 1953 et 1955, je me suis fait offrir le coffret de ses symphonies. J’ai commencé par celles que je considère comme les plus accessibles pour moi, la première (1944-1945) et la deuxième (1956-1957). Entre temps, au début des années 2000, j’avais trouvé d’autres compositions moins monumentales, notamment le Divertimento on Sellinger’s Round pour orchestre de chambre (1953-1954) que j’ai beaucoup écouté lors de la période d’écriture des poèmes de mon cycle La Lune du matin et autres récits de l’homme invisible constituant la quatrième section de mes Poèmes du bois de chauffage. Dans mes explorations musicales permanentes, je suis étonné d’avoir mis si longtemps à entrer dans une œuvre aussi vaste que celle de Tippett, assurément l’un des plus importants compositeurs britanniques du vingtième siècle.
00:56 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sir michael tippett, compositeurs britanniques, musique anglaise du vingtième siècle, classiques du vingtième siècle, divertimento on sellinger’s round, blog littéraire de christian cottet-emard, musique, vingtième siècle, disque, poèmes du bois de chauffage, la lune du matin et autres récits de l'homme invisible, éditions germes de barbarie, disques chandos, disques nimbus records, christian cottet-emard
07 janvier 2019
Et voilà, toujours un petit pincement au cœur quand les fêtes de Noël s'effacent...
00:06 Publié dans Et à part ça ? | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : noël, fêtes chrétiennes, blog littéraire de christian cottet-emard
06 janvier 2019
Mon poème de l'Épiphanie
D’une nouvelle étoile trois rois se troublent mais sont rassurés
Ils marchent vers celui qui vient pour naître habiter le logis des humains puis revenir en gloire à la fin des temps
Une mangeoire est le Berceau
Gaspard Melchior et Balthazar rejoignent le temps des merveilles
Leur étoile n’est pas de ces abominations de la désolation que les savants ravissent avec enthousiasme des ténèbres aux éperviers de leurs calculs
Elle est l'étoile de ceux que leur espoir fait rois
© Éditions Orage-Lagune-Express et Christian Cottet-Emard
Image : Frère Eric de Saussure. L’Adoration des Mages.
Vitrail de l’église de la Réconciliation de Taizé, 1962.
02:03 Publié dans Estime-toi heureux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : épiphanie, rois mages, gaspard, melchior, fête chrétienne, blog littéraire de christian cottet-emard, or, encens, myrrhe, tradition, galette des rois, épicéa, étoile, offrandes, balthazar