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02 mai 2010

Mes promenades sont « mahleriennes » au printemps et « brahmsiennes » en automne.

 

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Photo : jonquilles vers La Pesse, Haut-Jura. (Photo MCC)

Commentaires

Elles ne sont jamais Corelliennes ? A vous devriez essayer, c'est divin.

Écrit par : Frédérique M | 03 mai 2010

Pour moi, Corelli, c'est plutôt au coin du feu.
Dans la musique de Brahms et dans celle de Mahler, le rythme de la marche, de la promenade dans la nature, est toujours présent. En vacances, Brahms partait tôt le matin marcher dans la campagne, prenait son petit déjeuner en rentrant et composait. Lorsque j'écoute certaines œuvres de sa maturité, j'ai même l'impression qu'il a mis sa propre démarche d'homme corpulent dans ses partitions (mais c'est pure interprétation de ma part). Quant à Mahler, le rythme de marche de la promenade s'entend dans ses symphonies, par exemple dans le quatrième mouvement de la septième, l’andante amoroso intitulé « Nachtmusik » .

Écrit par : Christian Cottet-Emard | 04 mai 2010

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