Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

29 avril 2023

Carnet / Le ballon

ballon,sport,blog littéraire de christian cottet-emard,billet,humeur,chronique,manifestation,grève,contestation,société,opposition,politique,christian cottet-emard

Alors aujourd’hui il y aurait un gros match de ballon, une rumeur qui m’est venue de très loin je dois dire, comme d’une autre planète. Et paraît-il, il serait malséant de laisser des manifestants gâcher le sport avec de la politique… Parce que le sport n’a évidemment rien à voir avec la politique. Mais c’est tout le contraire. Rien n’est plus politique que le sport qui est par excellence l’outil du contrôle social, surtout le sport collectif, notamment le ballon. Mesdames et messieurs les manifestants, vous avez bien le droit de manifester, après tout nous sommes en démocratie, mais si vous pouviez aller faire ça dans un recoin du département de la Creuse, ce serait poli de votre part. C’est comme la grève. Bien sûr que vous pouvez faire la grève, après tout, nous sommes en démocratie, mais ce serait chic de votre part, mesdames et messieurs les grévistes, de vous débrouiller pour que cela ne gène personne et surtout pas le ballon !

25 mars 2022

Carnet / Liberté provisoire

carnet,note,journal,chronique,idée,société,humeur,opposition,contestation,politique présidentielle 2022,élection présidentielle 2022,blog littéraire de christian cottet-emard,café,terrasse,restaurant,liberté,passe vaccinal,crise sanitaire,christian cottet-emard,société,soignants,personnels suspendus,macronie,europe,souveraineté nationale,propagande,bons sentiments,pensée unique,moraline

Mon premier restaurant depuis longtemps. Étrange impression d’être en liberté provisoire alors que je n’ai commis aucun délit. Premier café en terrasse la semaine dernière et premier restaurant avant-hier, depuis le mois de janvier au cours duquel fut instaurée la mesure inutile, punitive et scélérate du passe vaccinal (actuellement suspendu mais seulement suspendu).
 
Ne jamais oublier que depuis le début de la crise sanitaire et pour la première fois depuis la seconde guerre mondiale, un gouvernement nous a dit à quelle heure sortir, combien de temps, à quelle distance, dans quels lieux (plages et forêts interdites), et cela avec un consentement et une résignation dont le pouvoir a été probablement le premier surpris. Pas difficile de comprendre qu’ils y ont désormais pris goût même s’ils ont lâché du lest pour l’élection présidentielle.
 
Rien de l’infamie politique que nous avons connue en deux ans n’est terminé, tout n’est qu’en suspens, comme la muselière et le passe vaccinal avec peut-être un jour l’obligation vaccinale pour tous. Une seule réponse en représailles : voter dès le premier tour contre l’actuel président et pour son véritable adversaire quel qu’il soit (sauf Pécresse qui n’est que son clone). Pas d’abstention, le roitelet n’attend que cela. 
 
Ne pas oublier les soignants maltraités (toujours sous muselière et sous obligation vaccinale) et les personnels suspendus (ces derniers ayant moins d’égards et de droits que les réfugiés affluant chez nous) sous prétexte qu’en ce moment (pour combien de temps ?) retourner au café, au restaurant, au spectacle, dans les bibliothèques est de nouveau possible. Cette accalmie n’est que l’œil du cyclone et la tempête sur les libertés reprendra plus forte encore si l’on croit « miner le système » en s’abstenant.
 
Cinq ans de macronie de plus, c’est la société des anciens gauchos à têtes grises embourgeoisés et apeurés, prêts à toutes les piqûres, des enfants et des jeunes en muselière, des citoyens de seconde zone, des forts avec les faibles et des faibles avec les forts, du double langage, de la perte d’identité culturelle et religieuse, de l’usine à gaz administrative, du nivellement par le bas qu’on appelle en charabia « discrimination positive » , de la pensée unique, de la perte de souveraineté nationale, de l’aventure belliciste, de l'erreur sur l'ennemi, du reniement de la culture, de la dissolution dans une entité européenne moralisatrice et donneuse de leçons dont la seule différence avec les autres puissances est de faire sa guerre avec l’argent et sa propagande avec les bons sentiments (avec pour seul résultat de se tirer une balle dans le pied si ce n’est dans la tête).
 
Pas de ça pendant cinq autres années ! Ni oubli, ni pardon. À votre bonne santé !
 
 

20 mars 2022

Dans l'actualité :

L'excellente analyse d'Arthur de Watrigant, cofondateur de L'Incorrect. Ajoutons qu'aux époques du despotisme éclairé auquel il fait allusion, le despote avait un niveau culturel bien supérieur à celui du roitelet de l'Elysée. Aujourd'hui, nous avons plutôt affaire à un despotisme obscurci !

#christiancottetemard #passdelahonte #MacronDehors #SansLui #politique #cafe #presidentielle2022