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04 décembre 2020

Déjà deux jours de neige et j'en ai déjà :

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Mes pensées d'hiver

Lorsqu’il neige, rien ne vaut la fondue et la raclette mais comme on peut en manger même en été, il ne sert à rien qu’il neige.

 

Pour rester en bonne santé l'hiver, je n’ai rien contre la médecine par les plantes à condition que les plantes soient distillées.

 

La raclette venant inévitablement après les raquettes, autant sauter le premier épisode.

 

Je supporte assez bien la neige (du 24 décembre au matin jusqu'au 25 décembre au soir).

 

Comme c'est beau la neige... sur le calendrier des Postes.

 

Pour moi les sports d'hiver, c'est comme les bonnes résolutions : on verra ça l'an prochain.

 

Quand viennent les flocons, passons aux flacons.

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30 mars 2020

Carnet / Haïkus et amuse-gueules

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J’essaie parfois de lire des haïkus mais mes tentatives sont brèves car malgré l’indéniable beauté que l’on peut rencontrer dans cette forme, mon esprit cent pour cent occidental s’adapte décidément mal à cette lecture. Et je ne parle pas des querelles byzantines entre les gardiens sourcilleux de la tradition de composition et ceux qui préfèrent s’en inspirer pour l’adapter librement.

Une brassée de haïkus me fait le même effet qu’un apéritif dinatoire raffiné ou la nouvelle cuisine : après ces amuse-gueules, quand est-ce qu’on passe à table ?

Le haïku ne me nourrit pas.

Cela me rappelle cette soirée commencée dans un restaurant vénitien certes excellent mais dont l’expertise en cuisine légère ne risquait pas de faire culpabiliser les convives soucieux de leur ligne et de leur poids. Sur le chemin du retour à l’hôtel, dans les rues désertes de Venise, j’ai dû imposer à mes compagnons de table navrés quelques détours vers les rares estaminets en train d’éteindre leurs néons où des employés fatigués mais compatissants acceptèrent de me vendre le restant de sandwiches thon-artichaut-oeufs-mayonnaise d’allure un peu flagada mais pas mauvais quand même.

Une fois à l’hôtel, bien après vingt-trois heures, jugeant imprudent d’aborder la nuit sans diluer tout ce pain de mie, je trouvai par bonheur le bar encore ouvert. Mon irruption fit sursauter le barman somnolent en veste blanche et à la cravate noire légèrement de travers. Il me gratifia d’un sourire reconnaissant lorsqu’il constata qu’ayant à peine grignoté de vieilles chips et vidé mon verre de grappa, je n’avais pas l’intention d’en commander deux ou trois autres en lui racontant ma vie.

Quel rapport avec les haïkus ? Lointain, je l’admets.

 

07 août 2013

Quelques nouveaux liens (colonne de droite sur ce blog) et une découverte

Chanson :

Cristina Branco

Misia

Bien vivre :

En pleine nature

Au jour le jour :

Bric-à-brac de Marie

Les AS cuisinent

Une découverte

Beth Hart and Joe Bonamassa

(Extrait de l'album Don't explain)