Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

06 octobre 2019

Interlude cinéma

Rien ni personne ne peut changer : la dernière scène incroyablement belle et mélancolique de la Dolce vita de Fellini.

Valeria_Ciangottini_1.jpg

 

 

31 mars 2016

Carnet / Moteur !

moteur !,carnet,note,journal,billet,écriture de soi,autobiographie,prairie journal,blog littéraire de christian cottet-emard,cinéma,printemps,coulisses,fellini,film,christian cottet-emard

Nuages rapides, ciel clair, vent plein sud, croissance des jours avec l’heure d’été. Un bourbon à l’apéritif et de petits cigares secs grillés à la va-vite.

Jacinthes, jonquilles, crocus et tulipes se dépêchent. Redémarrage du moteur à rêves diurnes.

Le premier printemps est un peintre d’esquisses, un artiste pressé, un accessoiriste, un régisseur lumière, un mécanicien précis et farfelu qui se hâte de déclencher une gigantesque machinerie comme s’il savait qu’elle ne fonctionnera pas longtemps dans le rythme et la puissance des débuts.

Cela ressemble au grand barnum de l’amour qui fait son tour de piste avant d’aller repriser son habit de scène dans les coulisses, comme dans un film de Fellini.

 

Photo : affiche détournée à Porto, Villa Nova de Gaia (photo CC-E)

 

 

29 mars 2009

Les bagnoles, elles vous lâchent toujours au mauvais moment...