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16 décembre 2018

Mon poème du troisième dimanche de l'Avent

(Gaudete)

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Les cloches

 

De ma prairie comme d’un îlot je vois l’église de mon village croiser dans le flot des nuées

 

Le clocher est le mât dans les jours calmes ou de tempête

 

Et voici dans la brise ou le vent l’alerte joyeuse des cloches

 

Celle du hameau dans la forêt où l’ombre tremble autour d’un cierge

 

Aussi le carillon des grandes villes qui pétillent en attente de la Fête

 

Et pour les temps de gloire Grand Solemnel de Notre-Dame et Campanone de Saint-Pierre

 

Photo : Cloches à Porto (photo Christian Cottet-Emard)

 

10 décembre 2018

Père Noël, voici un cadeau qui me ferait plaisir en ce moment :

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Un bel immeuble à Lisbonne, capitale d'un pays en paix...

 

 

 

06 juin 2018

Carnet / Du vertige et de l’angoisse de la page noire

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La relecture d’un livre au stade du manuscrit ou des premiers jeux d’épreuves est une phase durant laquelle il peut m’arriver de détester mon texte. Dans ces moments, je me dis qu’il faudrait cesser d’écrire, qu’il est ridicule de continuer d’ajouter des pages à toutes celles qui sont noircies dans le monde. Seul devant mon écran, le même vertige peut me saisir que dans une grande librairie où chaque ouvrage attend d’entrer le plus souvent quelques heures ou plus rarement toute une vie dans la tête de quelqu’un. Le vertige est aussi celui du néant : la tentation de jeter les épreuves papier au milieu des bûches qui flambent dans la cheminée ou de cliquer sur supprimer dans le menu du logiciel. Mais si écrire de la fiction romanesque, des essais ou de la poésie n’est pas une bonne idée, détruire ce que j’ai écrit n’en est pas forcément une meilleure. Alors, puisque la nature a horreur du vide...

Photo : vertige à Porto (photo © Ch. Cottet-Emard)