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21 juin 2008

L'orgue de Nantua en fête, dimanche

Chatillon0608.JPGDimanche 22 juin à 17h, concert en l'abbatiale Saint-Michel de Nantua par les élèves de la classe de Véronique Rougier, professeur au Conservatoire d'Oyonnax, titulaire de l'orgue de Nantua, avec le concours d'Olivier Leguay, organiste et claveciniste, professeur de clavecin au Conservatoire municipal de Lons-le-Saunier et professeur de piano au Conservatoire d’Oyonnax.

Élèves et professeurs interpréteront des œuvres de Jan-Peterszoon Sweelinck (1562 - 1621), Louis-Nicolas Clérambault (1676 - 1749), Alexandre-Pierre-François Boëly (1785 - 1858), Louis-Alfred-James Lefébure-Wély (1817 - 1869) et César Franck (1822 - 1890).

Concert gratuit proposé par l’association des Amis de l’orgue de Nantua et le Conservatoire d’Oyonnax à l’occasion de la fête de la musique. Comme chaque année, le public pourra visiter l’orgue construit en 1845 par Nicolas-Antoine Lété.

Photo : l’organiste Véronique Rougier (debout au centre) en compagnie d’une partie de ses élèves à la tribune de l'orgue de Châtillon-sur-Chalaronne. (Photo Marie-Christine Caredda).

16 juin 2008

Comment ça va la p'tite santé ?

À savourer avant ou après le film de Diane Kurys.

 

 

 

 

 

 

 

Avoir peur de Virginia Woolf

Samedi matin, 14 juin, je furète dans les étagères de la librairie Zadig de Saint-Claude (Jura) où je finis par trouver un recueil de trente nouvelles de Virginia Woolf. Le lendemain soir, avant d’ouvrir ce volume, je vais faire mon petit tour sur le site internet d’Hubert Nyssen où, dans ses carnets datés du 15 juin, je tombe sur deux citations de Virginia Woolf extraites du Journal intégral :
« Les pauvres n'ont aucune chance ; pas de bonnes manières ni de maîtrise de soi pour se protéger. Nous avons le monopole de tous les sentiments généreux. » et « Sur le chemin de halage nous avons croisé une longue file d'idiots. (…) C'était parfaitement horrible. Il est bien évident qu'on devrait les supprimer. »
Moi qui voulais aborder ces nouvelles sans préjugés, je sens que ces deux notes sinistres ne vont pas me quitter durant ma lecture. À moins que je ne parvienne à m’imprégner de ce que disait Jorge Luis Borges à propos des opinions : « l’aspect le moins important d’un écrivain » ...