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04 janvier 2022

Indignité :

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Macron restera dans l'Histoire comme le premier président de la République ayant officiellement déclaré qu'il a « très envie d'emmerder » une partie de ses concitoyens (dont il a déjà fait des citoyens de seconde zone). Le temps n'est plus d'hésiter aux élections. N'importe qui sauf lui (et surtout personne qui puisse lui ressembler si vous voyez ce que je veux dire) !

Ses propos sont indignes d'un chef d'État et la France doit en ce moment être la risée des autres pays. S'il panique, s'il n'a plus ses nerfs, qu'il démissionne et qu'on avance les élections puisqu'on peut déduire de cette véritable déclaration de guerre à des français qui n'ont commis ni délit ni crime que ce président est devenu dangereux.

Lorsqu'il affirme que les cinq millions de français qui n'ont reçu aucune dose sont « des irresponsables qui ne sont plus des citoyens » , on se souviendra que même pour des terroristes, il n'a pas tenu de propos aussi violents et on peut se demander s'il n'a pas dans l'idée la déchéance de nationalité pour les non vaccinés. Il est plus que temps de le stopper, le moment venu, dans l'isoloir.

 

06 septembre 2021

Carnet / Naufrage

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Il m’a fallu atteindre mon âge pour voir ça : la gauche mécontente parce qu’il y a des manifestations populaires ! Cerise sur le gâteau, j’ai lu hier sur le blog d’une auteure négligeable sur le plan littéraire mais intéressante d’un point de vue sociologique que cette dame se plaignait d’entendre « brailler les manifestants anti-pass sanitaire sous ses fenêtres » . « Brailler » , tel est bien le verbe qu’elle emploie.

Pour ma part, cela fait cinquante ans que j’entends brailler les porteurs de pancartes de cette gauche et de ses variants les plus farfelus sous l’action desquels elle finit en eau de bobo et qui fait la ronde au seuil des mairies et des préfectures pour pratiquer l’indignation sélective.

Hier, c’étaient les bourgeois qui s'offusquaient d’entendre brailler les manifestants, aujourd’hui, ce sont les vieux gauchos ! Ils sont si occupés à leur peur de mourir qu’ils ne voient même plus qu’on a créé à leur nez et à leur barbe des citoyens de seconde zone. Ce qui était le cauchemar de leur jeunesse est l’idéal de leur vieillesse. Pouah !