Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

22 avril 2022

S’il n’y a pas de honte à se trouver un jour victime, il y a du déshonneur à y consentir.

élection présidentielle 2022,politique,vote,scrutin,honte,déshonneur,urne,blog littéraire de christian cottet-emard,société,politique,vote castor,vote blanc,abstention,christian cottet-emard

Ce message s’adresse à tous ceux qui ont subi dans leur quotidien les conséquences des passes sanitaire et vaccinal instaurés par le gouvernement Macron, à tous ceux qui ont été contraints par chantage à l’emploi de se faire injecter un produit expérimental qu’on nomme improprement vaccin, à tous ceux qui ont perdu leur emploi en refusant l’injection, à tous ceux qui ont été traités d’irresponsables et de non citoyens ne méritant rien d’autre que d’être emmerdés par le chef de l’État et ses sbires et à tous ceux qui se sentent aujourd’hui menacés par le retour de ces mesures qui rappellent les heures les plus sombres de la France occupée.
 
À tous ceux-là, on peut dire que leur lassitude, leur dégoût, leur fatalisme, leur amertume sont compréhensibles comme peut l’être leur tentation de se retirer de cette farce lamentable et sinistre qu’est la politique telle qu’elle est pratiquée dans nos sociétés pas encore totalitaires mais déjà post-démocratiques ainsi que veulent les imposer Macron en France et ses clones en Europe.
 
Tous ceux qui se sentent dans cet état d’esprit dans lequel la colère le dispute à la résignation doivent être pleinement conscients que l’abstention, le vote blanc et le vote barrage (appelé vote castor ou, de manière impropre et mensongère front républicain) sont des votes qui valent consentement à tout ce dont ils ont souffert et continueront de souffrir si Macron et sa bande sont reconduits au pouvoir.
 
L’écrasante majorité de la presse nationale qui a approuvé les mesures liberticides et discriminatoires mises en œuvre durant la crise sanitaire qualifie l’adversaire de Macron d’extrémiste mais qui nous a dit à quelle heure sortir, combien de temps, à quelle distance et dans quels lieux ? Qui a imposé la discrimination entre citoyens ? Macron et ses collaborateurs au sens le plus méprisable du terme. L’extrémiste, c’est Macron.
 
Dans ce contexte électoral particulier, éprouvant et redoutable pour la suite, s’abstenir, voter blanc ou voter castor revient pour toutes les catégories de victimes citées au début de ce billet à prendre une gifle sans la rendre et surtout à consentir à tous les autres coups qui seront immédiatement portés dès la reconduite de cet individu au pouvoir.
 
S’il n’y a pas de honte à se trouver un jour victime, il y a du déshonneur à y consentir.
 

#christiancottetemard #politique #Election2022 #Presidentielle2022 #crisesanitaire

30 mars 2022

Dans l'actualité

Élection présidentielle : n'oublions pas les personnels soignants suspendus.

#christiancottetemard #passdelahonte #MacronDehors #SansLui #politique #cafe #presidentielle2022

 

25 mars 2022

Carnet / Liberté provisoire

carnet,note,journal,chronique,idée,société,humeur,opposition,contestation,politique présidentielle 2022,élection présidentielle 2022,blog littéraire de christian cottet-emard,café,terrasse,restaurant,liberté,passe vaccinal,crise sanitaire,christian cottet-emard,société,soignants,personnels suspendus,macronie,europe,souveraineté nationale,propagande,bons sentiments,pensée unique,moraline

Mon premier restaurant depuis longtemps. Étrange impression d’être en liberté provisoire alors que je n’ai commis aucun délit. Premier café en terrasse la semaine dernière et premier restaurant avant-hier, depuis le mois de janvier au cours duquel fut instaurée la mesure inutile, punitive et scélérate du passe vaccinal (actuellement suspendu mais seulement suspendu).
 
Ne jamais oublier que depuis le début de la crise sanitaire et pour la première fois depuis la seconde guerre mondiale, un gouvernement nous a dit à quelle heure sortir, combien de temps, à quelle distance, dans quels lieux (plages et forêts interdites), et cela avec un consentement et une résignation dont le pouvoir a été probablement le premier surpris. Pas difficile de comprendre qu’ils y ont désormais pris goût même s’ils ont lâché du lest pour l’élection présidentielle.
 
Rien de l’infamie politique que nous avons connue en deux ans n’est terminé, tout n’est qu’en suspens, comme la muselière et le passe vaccinal avec peut-être un jour l’obligation vaccinale pour tous. Une seule réponse en représailles : voter dès le premier tour contre l’actuel président et pour son véritable adversaire quel qu’il soit (sauf Pécresse qui n’est que son clone). Pas d’abstention, le roitelet n’attend que cela. 
 
Ne pas oublier les soignants maltraités (toujours sous muselière et sous obligation vaccinale) et les personnels suspendus (ces derniers ayant moins d’égards et de droits que les réfugiés affluant chez nous) sous prétexte qu’en ce moment (pour combien de temps ?) retourner au café, au restaurant, au spectacle, dans les bibliothèques est de nouveau possible. Cette accalmie n’est que l’œil du cyclone et la tempête sur les libertés reprendra plus forte encore si l’on croit « miner le système » en s’abstenant.
 
Cinq ans de macronie de plus, c’est la société des anciens gauchos à têtes grises embourgeoisés et apeurés, prêts à toutes les piqûres, des enfants et des jeunes en muselière, des citoyens de seconde zone, des forts avec les faibles et des faibles avec les forts, du double langage, de la perte d’identité culturelle et religieuse, de l’usine à gaz administrative, du nivellement par le bas qu’on appelle en charabia « discrimination positive » , de la pensée unique, de la perte de souveraineté nationale, de l’aventure belliciste, de l'erreur sur l'ennemi, du reniement de la culture, de la dissolution dans une entité européenne moralisatrice et donneuse de leçons dont la seule différence avec les autres puissances est de faire sa guerre avec l’argent et sa propagande avec les bons sentiments (avec pour seul résultat de se tirer une balle dans le pied si ce n’est dans la tête).
 
Pas de ça pendant cinq autres années ! Ni oubli, ni pardon. À votre bonne santé !