24 juillet 2025
Parution le premier septembre :
Genre : fiction romanesque,130 pages, format 12,5 X 19,5, illustrations photos montages pages intérieures © MC
© Orage-Lagune-Express, 2025
14:30 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : suzy bar, édition, parution, livre, christian cottet-emard, orage-lagune-express, littérature, fiction, blog littéraire de christian cottet-emard, dépôt légal, office notarial, dépôtn°, nouveauté, rentrée littéraire, lisbonne, portugal, bretagne, france, mer, plage, port, enseigne de vaisseau mhorn, marius le bernois, preben mhorn, club littéraire des amateurs de cigare, club cigare info, photos montages, marie caredda photos
04 juillet 2022
Nouvelle / Mariage d'automne
16:27 Publié dans Nouvelles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nouvelle, prose, littérature, fiction rmanesque, christian cottet-emard, littérature sentimentale, blog littéraire de christian cottet-emard, été, automne, mariage, éditions germes de barbarie, le fleix, dordogne, périgord, france, europe, aquitaine, mariage d'automne, pomme de pin, océan, dunes, forêt, bord de mer, plage, marée, phare, tristan, helga, andrade, panicauts, escarpins
20 février 2021
Carnet / Par la petite porte
Il ne m’est jamais arrivé de ma vie de me lever le matin et de me dire : aujourd’hui, je vais écrire un poème. J’y songe en parcourant les deux volumes de poésie (du moins étiquetés ainsi, même s’il s’agit peut-être d’autre chose, peu importe) que j’ai publiés ces deux dernières années, Poèmes du bois de chauffage et Aux grands jours. L’ensemble représente à peu près trois-cent-soixante pages et il reste tout ce que je n’ai pas publié, soit à ce jour l’équivalent d’un troisième volume, mais ce n’est pas ma priorité.
En revanche, je me lève très souvent dans cet état d’esprit particulier qui annonce l’écriture d’un poème ou de ce que l’on continue de nommer ainsi. Décrire cet état de conscience n’est pas simple.
Ce serait comme marcher tranquillement dans une rue monotone en longeant des immeubles et des murs puis, subitement, s’arrêter au seuil d’une petite porte à peine entrouverte. Le plus souvent, c’est une porte en bois à la peinture délavée. Lorsqu’on la pousse, elle n’ouvre pas sur un intérieur mais sur un extérieur, parfois un jardin, parfois une plage. Une fois, la porte ouvrait sur la berge d’une rivière. Il arrive que l’ouverture déclenche une petite brise ou un peu de vent, un courant d’air frais ou un souffle tiède et parfumé comme celui du fœhn.
Qu’on franchisse ou non le seuil, on sent que le poème, lui, est entré en soi et qu’un jour il sera peut-être écrit, mais en ce qui me concerne, seulement si cela me chante.
18:36 Publié dans carnet | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : carnet, note, journal, littérature, poésie, poème, recueils, poèmes du bois de chauffage, aux grands jours, christian cottet-emard, porte, petite porte, blog littéraire de christian cottet-emard, rue, immeuble, mur, jardin, plage, berge, rivière, mer, océan, seuil, écriture, photographie, promenade, rêverie